matali crassetDesign et scenarii de la viedécembre 2022

Après avoir donné sa définition du design, matali crasset décrit les spécificités de sa démarche et sa conception du design : avoir un regard décalé, attacher de l’importance à l’expérience du quotidien, aux rituels, à l’interaction entre les gens, etc.

Expliquant sa démarche créative, matali crasset parle d’un mélange d’intuition, de recherche, de doute et de remise en cause des règles établies. De manière générale, elle cherche plus à déstandardiser qu’à standardiser les choses et les lieux.

De l’idée à la réalisation, matali crasset revient sur les différentes étapes d’élaboration de ses réalisations : l’intention, le dessin, etc. Et commente l’usage qu’elle fait de la couleur ainsi que les liens étroits qu’elle tisse avec les artisans avec lesquels elle collabore.

Dans ce chapitre, matali crasset raconte les coulisses de quelques-unes de ses réalisations, objets ou lieux : Quand Jim monte à Paris (1998), Digestion (1998) et Le Blé en herbe, à Trébédan dans les Côtes-d’Armor (2015).

Poursuivant la traversée dans son parcours, matali crasset évoque les kiosques à journaux réalisés pour la Ville de Paris, la librairie du Consortium Museum (Dijon), Dark sky (Espagne), sa collaboration avec Ikea et son expérience avec Philippe Starck dans les années 1990.

Dans ce chapitre, matali crasset évoque ses collaborations avec la Manufacture de Sèvres, Thomson multimedia, le Centre Pompidou, l’ENS Paris Saclay, un hôtel en Tunisie et, enfin, Aware (Archives of Women Artists Research and Exhibitions).