Guillaume DésangesPermaculture institutionnelle février 2024

Guillaume Désanges revient sur ses débuts dans l’art contemporain, il y a vingt ans, avec ses premières conférences performées sur le thème du body art ou encore de l’art minimal. Un format original pour aborder l’art sans la présence physique des œuvres.

Guillaume Désanges en dit plus sur sa conception de l’art et sa manière de travailler, revenant sur certaines de ses conférences-performances. Notamment celle consacrée à l’art minimal dans laquelle il propose une relecture personnelle de l’histoire de l’art.

Guillaume Désanges évoque différents projets : « L’esprit français contre-cultures 1969-1989 » présentée à la Maison rouge en 2017 et « La planète des signes » au Plateau–Frac Île-de-France en 2009, des expositions dont il a été commissaire.

Guillaume Désanges fait part de ses expériences en tant que directeur artistique à La Verrière–Fondation d’entreprise Hermès (Bruxelles) où il a officié pendant près de dix ans. Il évoque aussi le Salon de Montrouge ainsi que le Palais de Tokyo qu’il préside depuis 2 ans.

L’urgence écologique est-elle une chance ? En tout cas elle conduit à une prise de conscience. Guillaume Désanges en dit plus à ce sujet et sur son projet au Palais de Tokyo à travers son « Petit traité de permaculture institutionnelle ».

Dans ce chapitre, Guillaume Désanges explique comment l’écologie a inspiré son projet au Palais de Tokyo. Il est question de circuit court et de biodiversité appliqués au monde de l’art.